Parmi les jeunes baristas débarrassant Paris de son représentant du mauvais café, Thomas Lehoux est un peu une star. Il s’est formé à la Caféothèque, l’un des premiers endroits à Paris à torréfier et moudre ses propres grains, et jusqu’à récemment, il s’occupait de l’équipement Marzocco chez Ten Belles.

Maintenant, il a co-fondé sa propre torréfaction – Brûlerie Belleville – dans le 19ème avant-gardiste. « Si vous allez dans les cafés du coin habituels, il est toujours difficile de trouver du bon café », dit-il. « Mais à cause de la relation française avec le vin et la gastronomie, ce qui est bien, c’est que dès que les Parisiens comprennent que ce que nous faisons est spécial, ils sont dedans. »

La torréfaction fournit des grains du Guatemala et du Honduras aux cafés de Paris, y compris le nouveau bar à cocktails et café Lockwood (géré par les frères de Thomas, Olivier et Christophe – les trois sont illustrés ci-dessus). Et tous les samedis, Lehoux et son torréfacteur Giesen sont ouverts au public pour des dégustations et quelques-unes des meilleures tasses de café de Paris. Visitez le site Web de la Brûlerie Belleville pour en savoir plus.

CONSEILS CAFÉ PARIS Vous ne connaissez pas votre origine unique de votre crema ? Mon Dieu ! (Ce sont les haricots d’une ferme et la mousse de votre expresso, pour info). Continuer à lire…

Notez les notes fruitées, houblonnées et, oui, vineuses. Ne demandez pas de décaféiné ou de lait de soja. Les vieilles rivalités ont la vie dure Ne vous attendez pas à prendre un bon café avant 8h du matin. Où pensez-vous être, Melbourne ? Demandez votre expresso bien serré (fort) et ajoutez une collation anglo comme un gâteau au thé ou un rouleau de saucisse N’ayez pas l’air choqué si vous êtes invité à faire du arômes en reniflant et en buvant) Ayez l’air intéressé par les temps d’extraction (combien de temps il faut à votre expresso pour verser), le rapport (quantité de liquide sortie divisée par la quantité de café entrant) et l’osmose inverse (un moyen scientifique de purifier l’eau utilisé)

Cette histoire de Sophie Dening est apparue pour la première fois dans le numéro de février 2014 de Condé Nast Traveler

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