Même si nous savons que les journées mondiales sont de consommation générale, elles servent aussi de prétexte pour faire un rappel et dans ce cas nous faire réfléchir pendant au moins une journée, mais mieux toute l'année, aux problèmes environnementaux que nous avons et à ceux que nous avons. peut résoudre selon nos capacités.

Il est également temps de définir des objectifs véritablement réalisables et réalistes, même s’ils s’éloignent des utopies qui peuvent et doivent toujours rester à l’horizon.

Et même en répétant sans cesse que le tourisme en tant que secteur économique dépend directement de l'environnement naturel et social dans lequel il se développe, les gens dépendent aussi directement de cet environnement, qu'ils soient résidents ou visiteurs, donc tous ensemble peuvent en bénéficier.

Il est également temps de minimiser les messages catastrophiquescar ils conduisent à abandonner la feuille de route établie.

Et permettez-moi de mentionner ce qui, selon nous, pourrait être mis en réflexion sur les points macro suivants :

1. Accepter ce que nous pouvons modifier, changer ou améliorer et donc reconnaître le priorité de la régénération, de la renaturalisation et de la conservationpour ensuite parvenir à un développement durable et compétitif.

2. Soyons conscients de la manière dont nous pouvons agir face à la crise climatique qui perdurera pendant des décennies et des décennies, à travers Adaptation et atténuation, au niveau général et au niveau des destinations et des entreprises touristiques.

3. Atteindre une conscience économique et politique pour garantir que Le tourisme devient une force positive et ainsi obtenir leur nécessaire reconnaissance sociale.

Faisons de ce jour une année, et de cette année un siècle, car nous en bénéficions tous et bien sûr le tourisme en tant que secteur.

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