A quelques jours du début de la commercialisation des voyages Imserso, les agences de voyages insistent pour savoir quelles mesures seront mises en œuvre pour résoudre les problèmes détectés lors de la saison précédente et pouvoir ainsi « garantir une commercialisation efficace et une expérience satisfaisante pour les utilisateurs ». Les associations FÉTAVE, UNAV et ACAVequi ont demandé ces informations à plusieurs reprises, assurent que l'absence de réponse de la part du Institut des aînés et des services sociaux génère un grand préoccupation dans le secteur.
L'inquiétude des Fédération professionnelle des associations territoriales d'agences de voyages espagnoles (FÉTAVE), le Syndicat National des Agences de Voyages (UNAV) et le Association Corporative des Agences de Voyages Spécialisées (ACAVe) devient plus aigu car le début de la commercialisation de programme de tourisme pour seniors pour la saison 2024-2025 coïncidera avec l’application du inscription aux réservations à partir du 1er octobre. Une situation qui « pourrait altérer de manière significative le processus de réservation et affecter le fonctionnement des agences de voyages », soulignent-ils dans un communiqué commun.
Ces groupes assurent avoir demandé à plusieurs reprises informations sur l'exécution du programme de la saison dernière et sur les mesures qui seront prises pour éviter la répétition des problèmes cela a affecté le déroulement de ces voyages, mais ils assurent qu’ils n’ont pas reçu de réponse à ce jour.
Ils exhortent donc le Direction Générale de l'Imserso leur apporter une réponse urgente afin qu'ils puissent prendre les mesures nécessaires pour assurer un marketing efficace.
Demande d'enregistrement de réservation en octobre
En revanche, ils s'inquiètent de l'entrée en vigueur du décret royal 933/2021 – qui impose l'application du registre de réservation susmentionné – quelques jours seulement avant le début de la commercialisation des voyages Imserso.
Les trois associations rappellent qu'elles se sont toujours montrées contrairement aux obligations imposées par ledit décret pour le « impossibilité » de le réaliser. C'est pourquoi ils soulignent qu'ils continueront à travailler jusqu'au dernier moment pour tenter d'abroger la nouvelle réglementation, au moins « parvenir à l'exclusion des agences de voyages de cette obligation », précisent-ils.
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